Vous ou quelqu’un que vous connaissez présentez les symptômes du burn-out ? Vous avez peur de souffrir d’une dépression post-partum ?
Cette page va vous aider.
Un petit retour en arrière s’impose. En effet, le terme « burnout » a été utilisé pour la première fois dans les années 1970 par un psychologue américain du nom de Herbert Freudenberger. Il l’a utilisé pour décrire les conséquences d’un stress intense subit à la poursuite d’objectifs élevés dans les métiers demandant un dévouement presque viscéral.
Au menu de cet article, nous verrons :
1 / la définition et l’évolution du burn-out de nos jours
2 / le burn-out professionnel et ses signes annonciateurs
3 / le burn-out parental et les symptômes qui doivent vous alerter
4 / la dépression post-partum et sa principale différence avec le “baby blues”
5 / une alternative naturelle pour réduire le stress
Ne perdons pas de temps et entrons dans le vif du sujet.
C'est quoi un burnout ?
Si on se réfère à la définition simple, un burn-out consiste en un épuisement extrême, une motivation et un enthousiasme en berne et l’impression de ne pas être capable de faire plus, d’aller plus loin. D’être désarmé.
En bref, le burn-out est la sensation d’un abattement physique et psychologique total.
Les médecins et les infirmières, par exemple, y sont particulièrement exposés en se sacrifiant pour les autres. Ils finissent souvent par se retrouver en situation de rupture, épuisés, apathiques et incapables de faire face.
A notre époque, le terme n’est plus aussi exclusif et utilisé uniquement pour les personnes exerçant ces types de métiers. Il peut désormais affecter n’importe qui, dans n’importe quelle profession. Des personnes stressées, des célébrités motivées par leur carrière ou des employés et des femmes au foyer surmenés, le burn-out peut frapper tout le monde, partout.
Les origines du burn-out ont fait de lui un syndrome qui évoluait dans des sphères professionnelles exigeant une forte implication de ses praticiens, il a donc été longtemps considéré comme spécifique à ces milieux-là. Mais ce n’est plus le cas.
A) Le burn-out professionnel
Le burn-out professionnel, appelé aussi épuisement professionnel, est, comme nous l’avons vu dans le paragraphe précédent, une réaction due à une exposition au stress professionnel prolongé ou chronique et se caractérise par trois variables principales : l’épuisement, le cynisme (moins d’identification au travail) et le sentiment de capacité professionnelle réduite.
Concernant, à l’origine, des personnes pratiquant des métiers de services et d’aides à autrui, il s’est depuis propagé dans tous les univers professionnels. Les personnes qui vouent un engagement sans faille à leur profession, mais dont les résultats n’atteignent pas leurs espérances y sont nettement plus sensibles.
Pour reconnaître les symptômes d’un burn-out “en gestation”, il est important d’accorder de l’attention à certains détails.
En voici quelques-uns :
1. Détachement et aliénation des activités liées au travail
Les personnes sujettes à un burn-out naissant ont tendance à montrer un détachement vis-à-vis de leur travail et de leurs collaborateurs. Elles ne se sentent plus impliquées par les objectifs à atteindre et les promesses de bonus ou de primes n’ont pas d’effet sur leur motivation.
Elles peuvent également devenir cyniques à propos de leur entreprise, des conditions de travail ou de leur entente avec leurs collègues.
2. Performances et productivité en baisse
Du fait que leur implication n’est plus aussi importante, leur productivité baisse aussi et rien ne semble pouvoir améliorer ce constat. N’étant plus engagée dans les perspectives de progression de l’entreprise, la personne souffrant d’un burn-out ne mettra plus de cœur à l’ouvrage et montrera à l’inverse, de l’agacement à l’exécution de ses tâches.
3. Symptômes physiques
Comme la loi des séries, quand quelque chose va mal, il est souvent accompagné par d’autres maux. C’est le cas d’un burn-out ou la santé est affaiblie par l’exposition prolongée à une situation qu’on ne souhaite plus et une énergie en chute libre.
L’apparition régulière de problèmes physiques tels que des maux de tête, des brûlures d’estomac, des problèmes digestifs, gastriques ou articulaires sont des alertes à ne pas négliger.
4. Irritabilité et manque de recul
Parmi les “symptômes burnout” les plus faciles à détecter, les changements dans les réactions vis-à-vis des remarques ou des retours des collègues et des supérieurs font partie des signes à surveiller.
La capacité à débattre d’une idée et à affirmer son point de vue est fragilisée. De la même façon, le niveau d’acceptation des critiques est abaissé et peut laisser survenir des réactions plus ou moins extrêmes, comme des pleurs, de la colère ou de la violence.
Vues de l’extérieur, ses réactions peuvent laisser penser que la personne souffrant d’un burn-out a tendance à exagérer “pour pas grand-chose”. Alors qu’en réalité, elle est souffrante et ne sait pas comment l’accepter ni le dire.
Vous avez un aperçu des symptômes du burn-out en environnement de travail à surveiller, que ce soit pour vous, un membre de votre famille ou de votre entourage, ou un collègue au sein de votre entreprise.
B) Le burn-out parental
Si les causes et les conséquences d’un burn-out parental diffèrent de celles d’un burn-out professionnel, les symptômes sont, eux, identiques.
Pour résumer l’épuisement parental en quelques mots, il s’agit d’un épuisement physique, psychologique et émotionnel que l’on subit à cause du stress de la parentalité.
Il peut se caractériser par une prise de distance émotionnelle avec l’enfant ou une irritabilité accrue. Certaines personnes souffrant d’épuisement parental peuvent éprouver des pertes de mémoire, d’attention vis-à-vis de l’enfant ou des sentiments d’anxiété. L’exposition prolongée à ces troubles peut même mener la personne à une dépression.
Beaucoup remettent en question leur capacité à être parents et à apporter le bien être nécessaire à l’épanouissement de l’enfant. Les sentiments de confusion, d’isolement et d’abattement sont courants.
Voici quelques signes qui permettent de prévenir un burn-out parental :
1. Fatigue permanente, irritabilité et isolement
Quand bien dormir ne suffit plus. La sensation d’atteindre un degré de fatigue irrécupérable ou chaque tâche représente une véritable montagne à franchir.
Le fait de sortir du lit le matin par “automatisme parental”, sans aucun entrain, juste pour préparer le petit déjeuner de votre enfant avec l’unique envie de retourner vous coucher est un signal très révélateur du problème.
Cette sensation d’épuisement est complétée par une propension accrue à l’isolement et à être irritable, où la moindre contrariété devient un supplice à supporter.
2. Doute et sentiment d’impuissance
Une remise en question de la relation à l’enfant est un symptôme fréquent qui crée un sentiment de doute, voire de honte aux parents souffrant d’épuisement. Un éloignement et une forme de diabolisation peuvent même se déclarer.
Une sensation d’impuissance peut aussi se manifester en ayant l’impression de subir la situation et en étant convaincue que rien ne pourra l’améliorer.
3. Symptômes physiques
Un burn-out, qu’il soit professionnel ou parental, a des conséquences sur la santé. Outre l’extrême fatigue qui en résulte, les troubles du sommeil qui l’accompagnent jouent sur la dégradation de la santé, avec par exemple des maux de tête de plus en plus fréquents ou des douleurs musculaires chroniques.
Ces principaux symptômes sont souvent associés avec le sentiment de ne plus exister en tant qu’individu, de ne plus avoir de vie privée et d’être submergé par le rôle de parent au point de n’être plus que lui.
C) La dépression post-partnum
Vous connaissez certainement le syndrôme du « baby blues ». C’est parce qu’il est assez courant que les nouvelles mères se sentent un peu tristes, inquiètes ou fatiguées. Environ 80% des mères ont ces sentiments durant une semaine ou deux après l’accouchement.
C’est tout à fait normal et cela s’explique par le relâchement naturel de la pression après avoir mené la grossesse à son terme. Heureusement, il s’estompe généralement en quelques jours ou semaines.
Bien que certains des symptômes semblent identiques, la dépression post-partum est différente du baby blues.
La dépression post-partum dure plus longtemps, à des conséquences bien plus importantes et peut apparaître jusqu’à un an après l’accouchement. Elle n’est pas si rare qu’on pourrait le croire, car elle concerne environ 15% des naissances, et ce sans distinction entre les nouvelles mères et celles qui ont déjà vécu l’expérience.
Voici un condensé des symptômes à surveiller pour détecter une dépression post-partum :
1. Humeur triste et dépressive
L’un des signes les plus courants, la mère peut avoir des épisodes de tristesse absolue avec des pleurs incontrôlables et ce, sans explication.
2. Changement de comportement et sautes d’humeur
Le comportement de la femme atteinte de dépression post-partum peut subir des variations extrêmes sans signes annonciateurs. Des comportements qui peuvent aller du rire aux larmes ou provoquer des phases de boulimie ou à l’inverse, un désintérêt soudain pour la nourriture.
3. Concentration en berne et désintérêt général
Les femmes souffrant de ce syndrome subissent les mêmes effets qu’un burn-out en perdant leur capacité de concentration et sont parfois incapables de prendre des décisions. Elles ne ressentent, par ailleurs, aucune forme de satisfaction ni d’envie quelconque.
4. Sentiment d’incompréhension
Les femmes qui ont conscience de cet état éprouvent une forme de honte et elles se sentent impuissantes à demander de l’aide car elles se considèrent comme illégitimes dans le rôle de mère. En conséquence, elles ont peur d’être jugées de cette façon ou pire, de perdre la garde de leur enfant, alors elles préfèrent s’abstenir.
La dépression post-partum est à prendre avec sérieux. C’est un trouble grave, mais il peut être surmonté grâce à une prise en charge et un traitement. En cas de doute, parlez-en à votre médecin traitant.
Face au burn-out, des solutions naturelles existent !
Nous voici au terme de cet article, ou nous avons fait un tour d’horizon des principaux symptômes qui grèvent la vie des personnes qui souffrent de burn-out ou de dépression post-partum.
Vous avez pu vous rendre compte de la similarité de ces symptômes, comme une extrême fatigue, un état général d’impuissance, une santé affectée de diverses manières et surtout une incapacité à avancer.
Parmi ce marasme, plusieurs bonnes nouvelles subsistent… En effet, la prise en charge psychologique de ces différentes maladies est de plus en plus efficace et des traitements existent pour aider à revenir sur le bon chemin. Néanmoins, vous pouvez aussi vous tourner vers des solutions thérapeutiques naturelles à ingérer.
Pour vous accompagner dans cette voie, nous proposons des compléments alimentaires naturels qui pourront vous apaiser et vous aider à reprendre le contrôle sur vous-même.
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Comment détecter un burn-out ? les principaux symptômes
Vous ou quelqu’un que vous connaissez présentez les symptômes du burn-out ? Vous avez peur de souffrir d’une dépression post-partum ?
Cette page va vous aider.
Un petit retour en arrière s’impose. En effet, le terme « burnout » a été utilisé pour la première fois dans les années 1970 par un psychologue américain du nom de Herbert Freudenberger. Il l’a utilisé pour décrire les conséquences d’un stress intense subit à la poursuite d’objectifs élevés dans les métiers demandant un dévouement presque viscéral.
Au menu de cet article, nous verrons :
1 / la définition et l’évolution du burn-out de nos jours
2 / le burn-out professionnel et ses signes annonciateurs
3 / le burn-out parental et les symptômes qui doivent vous alerter
4 / la dépression post-partum et sa principale différence avec le “baby blues”
5 / une alternative naturelle pour réduire le stress
Ne perdons pas de temps et entrons dans le vif du sujet.
C'est quoi un burnout ?
Si on se réfère à la définition simple, un burn-out consiste en un épuisement extrême, une motivation et un enthousiasme en berne et l’impression de ne pas être capable de faire plus, d’aller plus loin. D’être désarmé.
En bref, le burn-out est la sensation d’un abattement physique et psychologique total.
Les médecins et les infirmières, par exemple, y sont particulièrement exposés en se sacrifiant pour les autres. Ils finissent souvent par se retrouver en situation de rupture, épuisés, apathiques et incapables de faire face.
A notre époque, le terme n’est plus aussi exclusif et utilisé uniquement pour les personnes exerçant ces types de métiers. Il peut désormais affecter n’importe qui, dans n’importe quelle profession. Des personnes stressées, des célébrités motivées par leur carrière ou des employés et des femmes au foyer surmenés, le burn-out peut frapper tout le monde, partout.
Les origines du burn-out ont fait de lui un syndrome qui évoluait dans des sphères professionnelles exigeant une forte implication de ses praticiens, il a donc été longtemps considéré comme spécifique à ces milieux-là. Mais ce n’est plus le cas.
A) Le burn-out professionnel
Le burn-out professionnel, appelé aussi épuisement professionnel, est, comme nous l’avons vu dans le paragraphe précédent, une réaction due à une exposition au stress professionnel prolongé ou chronique et se caractérise par trois variables principales : l’épuisement, le cynisme (moins d’identification au travail) et le sentiment de capacité professionnelle réduite.
Concernant, à l’origine, des personnes pratiquant des métiers de services et d’aides à autrui, il s’est depuis propagé dans tous les univers professionnels. Les personnes qui vouent un engagement sans faille à leur profession, mais dont les résultats n’atteignent pas leurs espérances y sont nettement plus sensibles.
Pour reconnaître les symptômes d’un burn-out “en gestation”, il est important d’accorder de l’attention à certains détails.
En voici quelques-uns :
1. Détachement et aliénation des activités liées au travail
Les personnes sujettes à un burn-out naissant ont tendance à montrer un détachement vis-à-vis de leur travail et de leurs collaborateurs. Elles ne se sentent plus impliquées par les objectifs à atteindre et les promesses de bonus ou de primes n’ont pas d’effet sur leur motivation.
Elles peuvent également devenir cyniques à propos de leur entreprise, des conditions de travail ou de leur entente avec leurs collègues.
2. Performances et productivité en baisse
Du fait que leur implication n’est plus aussi importante, leur productivité baisse aussi et rien ne semble pouvoir améliorer ce constat. N’étant plus engagée dans les perspectives de progression de l’entreprise, la personne souffrant d’un burn-out ne mettra plus de cœur à l’ouvrage et montrera à l’inverse, de l’agacement à l’exécution de ses tâches.
3. Symptômes physiques
Comme la loi des séries, quand quelque chose va mal, il est souvent accompagné par d’autres maux. C’est le cas d’un burn-out ou la santé est affaiblie par l’exposition prolongée à une situation qu’on ne souhaite plus et une énergie en chute libre.
L’apparition régulière de problèmes physiques tels que des maux de tête, des brûlures d’estomac, des problèmes digestifs, gastriques ou articulaires sont des alertes à ne pas négliger.
4. Irritabilité et manque de recul
Parmi les “symptômes burnout” les plus faciles à détecter, les changements dans les réactions vis-à-vis des remarques ou des retours des collègues et des supérieurs font partie des signes à surveiller.
La capacité à débattre d’une idée et à affirmer son point de vue est fragilisée. De la même façon, le niveau d’acceptation des critiques est abaissé et peut laisser survenir des réactions plus ou moins extrêmes, comme des pleurs, de la colère ou de la violence.
Vues de l’extérieur, ses réactions peuvent laisser penser que la personne souffrant d’un burn-out a tendance à exagérer “pour pas grand-chose”. Alors qu’en réalité, elle est souffrante et ne sait pas comment l’accepter ni le dire.
Vous avez un aperçu des symptômes du burn-out en environnement de travail à surveiller, que ce soit pour vous, un membre de votre famille ou de votre entourage, ou un collègue au sein de votre entreprise.
B) Le burn-out parental
Si les causes et les conséquences d’un burn-out parental diffèrent de celles d’un burn-out professionnel, les symptômes sont, eux, identiques.
Pour résumer l’épuisement parental en quelques mots, il s’agit d’un épuisement physique, psychologique et émotionnel que l’on subit à cause du stress de la parentalité.
Il peut se caractériser par une prise de distance émotionnelle avec l’enfant ou une irritabilité accrue. Certaines personnes souffrant d’épuisement parental peuvent éprouver des pertes de mémoire, d’attention vis-à-vis de l’enfant ou des sentiments d’anxiété. L’exposition prolongée à ces troubles peut même mener la personne à une dépression.
Beaucoup remettent en question leur capacité à être parents et à apporter le bien être nécessaire à l’épanouissement de l’enfant. Les sentiments de confusion, d’isolement et d’abattement sont courants.
Voici quelques signes qui permettent de prévenir un burn-out parental :
1. Fatigue permanente, irritabilité et isolement
Quand bien dormir ne suffit plus. La sensation d’atteindre un degré de fatigue irrécupérable ou chaque tâche représente une véritable montagne à franchir.
Le fait de sortir du lit le matin par “automatisme parental”, sans aucun entrain, juste pour préparer le petit déjeuner de votre enfant avec l’unique envie de retourner vous coucher est un signal très révélateur du problème.
Cette sensation d’épuisement est complétée par une propension accrue à l’isolement et à être irritable, où la moindre contrariété devient un supplice à supporter.
2. Doute et sentiment d’impuissance
Une remise en question de la relation à l’enfant est un symptôme fréquent qui crée un sentiment de doute, voire de honte aux parents souffrant d’épuisement. Un éloignement et une forme de diabolisation peuvent même se déclarer.
Une sensation d’impuissance peut aussi se manifester en ayant l’impression de subir la situation et en étant convaincue que rien ne pourra l’améliorer.
3. Symptômes physiques
Un burn-out, qu’il soit professionnel ou parental, a des conséquences sur la santé. Outre l’extrême fatigue qui en résulte, les troubles du sommeil qui l’accompagnent jouent sur la dégradation de la santé, avec par exemple des maux de tête de plus en plus fréquents ou des douleurs musculaires chroniques.
Ces principaux symptômes sont souvent associés avec le sentiment de ne plus exister en tant qu’individu, de ne plus avoir de vie privée et d’être submergé par le rôle de parent au point de n’être plus que lui.
C) La dépression post-partnum
Vous connaissez certainement le syndrôme du « baby blues ». C’est parce qu’il est assez courant que les nouvelles mères se sentent un peu tristes, inquiètes ou fatiguées. Environ 80% des mères ont ces sentiments durant une semaine ou deux après l’accouchement.
C’est tout à fait normal et cela s’explique par le relâchement naturel de la pression après avoir mené la grossesse à son terme. Heureusement, il s’estompe généralement en quelques jours ou semaines.
Bien que certains des symptômes semblent identiques, la dépression post-partum est différente du baby blues.
La dépression post-partum dure plus longtemps, à des conséquences bien plus importantes et peut apparaître jusqu’à un an après l’accouchement. Elle n’est pas si rare qu’on pourrait le croire, car elle concerne environ 15% des naissances, et ce sans distinction entre les nouvelles mères et celles qui ont déjà vécu l’expérience.
Voici un condensé des symptômes à surveiller pour détecter une dépression post-partum :
1. Humeur triste et dépressive
L’un des signes les plus courants, la mère peut avoir des épisodes de tristesse absolue avec des pleurs incontrôlables et ce, sans explication.
2. Changement de comportement et sautes d’humeur
Le comportement de la femme atteinte de dépression post-partum peut subir des variations extrêmes sans signes annonciateurs. Des comportements qui peuvent aller du rire aux larmes ou provoquer des phases de boulimie ou à l’inverse, un désintérêt soudain pour la nourriture.
3. Concentration en berne et désintérêt général
Les femmes souffrant de ce syndrome subissent les mêmes effets qu’un burn-out en perdant leur capacité de concentration et sont parfois incapables de prendre des décisions. Elles ne ressentent, par ailleurs, aucune forme de satisfaction ni d’envie quelconque.
4. Sentiment d’incompréhension
Les femmes qui ont conscience de cet état éprouvent une forme de honte et elles se sentent impuissantes à demander de l’aide car elles se considèrent comme illégitimes dans le rôle de mère. En conséquence, elles ont peur d’être jugées de cette façon ou pire, de perdre la garde de leur enfant, alors elles préfèrent s’abstenir.
La dépression post-partum est à prendre avec sérieux. C’est un trouble grave, mais il peut être surmonté grâce à une prise en charge et un traitement. En cas de doute, parlez-en à votre médecin traitant.
Face au burn-out, des solutions naturelles existent !
Nous voici au terme de cet article, ou nous avons fait un tour d’horizon des principaux symptômes qui grèvent la vie des personnes qui souffrent de burn-out ou de dépression post-partum.
Vous avez pu vous rendre compte de la similarité de ces symptômes, comme une extrême fatigue, un état général d’impuissance, une santé affectée de diverses manières et surtout une incapacité à avancer.
Parmi ce marasme, plusieurs bonnes nouvelles subsistent… En effet, la prise en charge psychologique de ces différentes maladies est de plus en plus efficace et des traitements existent pour aider à revenir sur le bon chemin. Néanmoins, vous pouvez aussi vous tourner vers des solutions thérapeutiques naturelles à ingérer.
Pour vous accompagner dans cette voie, nous proposons des compléments alimentaires naturels qui pourront vous apaiser et vous aider à reprendre le contrôle sur vous-même.
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